blog d'amour,trouvez des poémes et citations d'amour d'amitié...de tous theme aussi des images animés,qui bouge ,photos,emoticons gif jpg ,caricaturs[par dilem] et autres choses [divers

VIP-Blog de litmane

blog d'amour,trouvez des poémes et citations d'amour d'amitié...de tous theme aussi des images animés,qui bouge ,photos,emoticons gif jpg ,caricaturs[par dilem] et autres choses [divers
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

litmane-aa@hotmail.com

186 articles publiés
6 commentaires postés
1 visiteur aujourd'hui
Créé le : 28/03/2007 00:10
Modifié : 07/09/2007 18:45

Garçon (20 ans)
Origine : ________
Contact
Favori
Faire connaître ce blog
Newsletter de ce blog

 Juillet  2025 
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
30010203040506
07080910111213
14151617181920
21222324252627
282930010203

Mes blogs favoris

lecrevisse


| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |

[ Caricatur de Dilem ] [ Divers ] [ CITATIONS ] [ Mes photos ] [ POEMES ] [ Cliki ici ]

if only my heart had a home

06/08/2007 18:10

if only my heart had a home


Whatever you said is a lie
Every word I told makes you cry
Your letters would have been thrown
If only my heart had a home

You must conceed you came to me
I told you it makes me happy
But when I've done the same
Very confused, your thoughts became

I've been used to be with you
The darkness, I could see you throught
How can you forget easily
This so perfect history ?

Or maybe you can't forget it
You have erased me just a bit
And when I'm very close to you
Perhaps you remember me to

I'll continue my way in peace
No matter how high is the risk
I'll be kicked but I'll stand
Keeping thinking of you, again






Entre reve et imagination

06/08/2007 18:02

Entre reve et imagination


Comment te regarder sans se brûler les yeux,
Comment te contempler sans penser à nous deux;
Pourquoi ne pas rester ainsi entrelacés
À admirer le ciel dans un cycle éternel.

Je regarde tes yeux, longuement, patiemment,
Tant la douceur du bleu est comme un océan.
Que j’aimerais plonger au fond de tes pensées,
Dans ce bain de minuit chauffé par nos envies.

Je vois également de somptueux soleils,
Au fond brûlants, ardents, de loin de vraies merveilles.
Ne pas trop ressembler, au rêv’ d’Icare passé,
Se contenter de peu, pour faire durer ce feu.

Que j’aime ces cheveux, s’envolant dans la nuit,
Reflet d’un être heureux qui est privé d’ennui;
Une vague légère, se balançant dans l’air,
D’une réelle liberté et d’infini beauté.

Si je m’écarte un peu, te voilà allongée,
À l’ombre de mes yeux, sur une île sablée,
Est-ce l’imagination qui guide mes pulsions,
Est-ce un rêve joyeux qui réunit nous deux?

Ta robe noire s’éclaire, laissant une poitrine
Gonflée, flottant en mer, dans l’eau fraîche des mâtines;
Et toute la silhouette, dans une ambiance de fête,
Est immergée sous l’eau, purifiée par les flots.

De retour sur la plage, sous le soleil levant,
Nous sommes sur le rivage, proches tout simplement;
Et sur ta peau bronzée, des perles d’eau laissées
Par la calme marrée, en échange de baisers.

Mais quel plaisir de voir ruisseler sur ton corps,
Ces caresses d’espoir, navigant jusqu’aux bords;
Nous ne sommes pas bavard, à l’abri des regards
Préférant écouter les vagues échouées.

Ma tête est embrouillée par toutes ces images
Toutes ces sensations, couleurs, odeurs, chaleurs,
Et tout est mélangé, il se crée un tissage:
L’amoureuse passion, le summum du bonheur.

Je conserve en mémoire ces bons moments passés,
Tout est clos, il fait noir, je commence à rêver;
Seraient-ce le parfum, la douceur de tes mains,
L’ondoiement des cheveux, ou la chaleur du feu?

Élevé dans le ciel, en pensant à toi , Femme,
Je passe une lune de miel, avec toi et mon âme,
Unis par le mariage, nous passerons les âges,
Attachés, réunis, par l’amour et la vie.

Et depuis cette hauteur, tu es toute petite,
Tu reste dans mon cœur, magnifique pépite,
Ma chère précieuse, tu es toujours radieuse
Je veux que rien n’offense ma fidèle alliance.

Voilà que tu grandis, tu me rejoins là-haut;
Approche l’infini, pure et divine eau.
Nous contemplons la Terre, et même tout l’Univers,
Tout est si sympathique, notre amour est unique.

Une métamorphose t’as soudain transformé
En un désert rêvé, vivons-y en symbiose;
Qu’il soit un lieu d’échanges, construit sur la confiance,
Surmontant chaque épreuves, nous descendons le fleuve.

Territoire inconnu regorgeant de mystères,
Lieu isolé, perdu, tu cherches juste à plaire;
La douceur de ton corps, due aux paillettes d’or,
Qui brillent dans la nuit, apaise mes esprits.

Je marche sur ta peau dorée par le soleil:
Univers de repos, durant jusqu’au réveil.
Mes empreintes de pied, les traces du passé,
Mémoire de mon passage, sont peut-être un mirage.

Tempêtes déchaînées, caresses bien placées,
Pourraient bien effacer le fond de mes pensées.
Mais bon je rêve encore, accroché à ce sort,
De te redécouvrir, Belle au mille plaisirs.

Je vois une oasis, bien fraîche et verdoyante,
Un lac sur ta peau lisse, une bouche accueillante.
Attendant ma venue, en étant détendue,
Tu es prête à confier tous tes petits secrets.

Je m’approche de l’onde pour voir sa pureté,
Elle est claire, profonde, pleine de sérénité.
J’observe mon reflet dans ce petit marais,
Mais ce n’est pas le mien, c’est Toi, astre divin.

Déesse étonnante, aux multiples parties,
Tu es omniprésente, même dans mon esprit;
Ondulant, silencieuse, tu parais bien curieuse,
Reflet de mes pensées, douce réalité.

Mes lèvres lentement effleurent la frontière,
Entre l’eau et l’éther, entre deux cœur ardents.
J’embrasse ce miroir, comme si je voulais boire
Cette eau miraculeuse, la passion chaleureuse.

J’observe ta Splendeur, mais je suis ébloui
Par toutes ces couleurs, ton iris qui bleuit.
Entre sourire et pleurs, arrive un arc-en-ciel,
Un long lien éternel, entre deux yeux sans peur.

Ma soif évanouie, je plonge dans l’eau vive,
Tout mon corps est enfoui dans l’onde admirative;
Léchés par les courants, par les vagues et le vent,
Ma peau, mon cœur frissonnent, les sensations foisonnent.

A l’intérieur de l’eau, tout est si différent,
Tout se brouille aussitôt, se met en mouvement.
C’est une main qui presse, qui chatouille, caresse,
L’eau: l’amour du toucher, la sensibilité.

A l’horizon se dressent, deux dunes de sable fin,
Créées par les caresses du vent et de mes mains.
Je décide de m’y rendre, pour voir ces formes tendres:
Exploits de la nature, le gain de l’aventure.

Montagnes capricieuses, bougeant à tout instant:
Poitrine merveilleuse, montant et descendant,
Guidées par l’impulsion, de ta respiration,
Qui vite s’accélère, mes mains doivent te plaire.

Partages de baisers, comme un signe d’adieu,
Tu as émerveillé mon corps, mon cœur, mes yeux,
Mes lèvres, et mon esprit, et je t’en remercie.
Reflet de ton visage, gravure de ton visage,
Resteront à jamais, coffrés dans mes secrets.








Ce coeur

06/08/2007 17:55

Ce coeur


depuis qu'on c'etait vu
je n'ai jamais su
te dire ce que j'en pensais
de ces sourires lançaient

mais j'aimerais tant ouvrir
ce coeur en train de pourir
de ne pas savoir comment
avancer vers les devants

car tu m'intimides beaucoup
j'ai envie de te dire vous
mais au fond c'est pas ca
que je voudrais dire tout bas






TES YEUX

06/08/2007 17:48

TES YEUX


Tes yeux me font voyager
Dans une île lointaine
Et cette terre inhabitée
Est toute fleurie et saine.

Ton iris est circulaire
Et la flore est abondante
Tout s’y trouve pour plaire
Sur cette côte odorante.

Mais au milieu de cet îlot
Voici mon propre visage
Je suis donc dans ton oeil si beau
Observant le paysage.

L’île flotte dans l’océan
Et lorque tu regardes ailleurs
Elle dérive légerement
Et cela abîme les fleurs.

Continue à me regarder
Et l’île restera figée
Et la nature sera sauvée
Continuons à nous aimer.








RESTE AVEC MOI

06/08/2007 17:40

RESTE AVEC MOI


Lorsque tu es là, près de moi
Lorsque je te serre, dans mes bras
Alors je ne vois plus que toi
Dis moi pourquoi, je ne sais pas.

Mais que regarder sinon toi?
Tu es belle de haut en bas
Mais comment exister, sans toi?
Dis-moi comment, je ne sais pas.

Et ton odeur se mêle en moi
Je plonge, je vole, où tu vas
Plein de plaisirs, ivre de joie
Qu’est-ce qui se passe, je ne sais pas.

Quand tu parles, j’entend la voix
D’un rossignol, reste comme ca
Son mélodieux, vêtu de soie
Ne change pas, reste avec moi.

Mais quand on se sépare
Je me trouve dans le brouillard
Tu ne m’éclaire plus la vie
Imprévisible mélancholie.

Tu ne me guides plus, je suis tout seul
Sans repère, je suis en deuil
Tu n’allumes plus mon flambeau
Je ne vois plus ton corps si beau.

Je ne te sens plus, je suis perdu
Mon nez est triste, je suis décu
J’ai perdu toutes mes sensations
Sans te toucher, je suis en prison.

A quoi bon rester en vie
Dans ce monde sans sursis
En attendant que tu reviennes
Car ma vie n’est que la tienne.

Mais tu brilleras dans mon coeur
A jamais, et c’est mon bonheur
Même si tu es loin de moi.

Tu es l’étoile polaire
A de nombreuses années lumière
Et pourtant tu es là, je te vois.

Tu es la plus intense du ciel
Et surement éternelle
Reste avec moi, reste près de moi.






Début | Page précédente | 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 | Page suivante | Fin
[ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact litmane ]

© VIP Blog - Signaler un abus