Il paraît que le temps efface tout
Y compris le souvenir d’un amour fou
Il paraît que ce qui ne tue pas, rend plus fort
C’est faux, puisque à toi je pense encore
C'est d'ailleurs, un peu trop omniprésent
Et ça me fait du mal bien évidemment,
Car le temps n’y changera absolument rien
Ni ma peine et encore moins mon chagrin
J'ai pourtant essayé de me raisonner
Mais rien n’ y fait à toi je ne fais que penser
Tu deviendra une image dans mon décors
Mais malgré mes efforts, pour l’instant je t’aime encore